Ce que nous ne ferons pas : revendre les projets

Chez Pem’s Projects, un projet n’est pas un produit. Il est le fruit d’un usage, d’une histoire, d’une rencontre. L'upgrader en service, oui. Le vendre à une tierce partie, non.

Un projet partagé n’est pas un produit à céder Un outil pensé avec ses utilisateurs relève d’une dynamique collective. Faire évoluer l’outil avec ceux qui l’utilisent est central. Le rendre stable, oui. Le vendre, non.

Ne pas couper le lien avec le terrain Répondre à un besoin, pas créer une dépendance suppose de respecter l’usage réel. Vendre un outil, ce serait figer ce besoin. Un projet incubé, ce n’est pas un site web.

Évoluer sans perdre le sens Quand un projet devient un service, il peut gagner en stabilité et en portée sans trahir ce qui l’a fait naître. Des moyens modestes pour des projets ambitieux, c’est aussi préparer l’avenir sans renier l’essentiel.

  • Respecter la dynamique d’origine — un projet naît d’un besoin, pas d’un marché

  • Assumer nos engagements — ce que nous annonçons à nos partenaires reste vrai demain

  • Refuser la spéculation — aucun projet n’est conçu pour être monétisé ou cédé

  • Rendre accessible, sans céder le contrôle — usage large ne veut pas dire propriété diluée

  • Clarifier la gouvernance — les projets sont incubés, mais ne sont pas à vendre

  • Préférer le lien à la transaction — on développe pour soutenir, pas pour capitaliser

Un projet n’est pas un actif. C’est une réponse vivante à un usage réel. Il reste à celles et ceux qui l’utilisent, quoi qu’il advienne.

Pas de cession.
Pas de promesse inversée.
Pas de sortie programmée.

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